Lorsque Syam Menon s’est vu proposer le poste de PDG d’incadea en février 2025, il l’a accepté alors que l’entreprise était sur le point de franchir une étape importante. Quelques semaines plus tard, le fournisseur de solutions numériques pour les concessionnaires automobiles fêtait ses 25 ans d’existence, et Syam Menon était prêt à relever le défi de mener l’entreprise vers sa prochaine étape de croissance.

S’appuyer sur son expérience chez Volaris
Syam Menon a l’avantage de travailler au sein de Volaris Group depuis trois ans et demi. Il y a acquis une connaissance approfondie de la perspective de croissance à long terme de Volaris. Avant d’occuper son poste actuel, il était directeur des intégrations pour le portefeuille automobile au sein de Volaris Group, où il aidait les entreprises à s’adapter après leur acquisition et encourageait les nouveaux dirigeants à accéder aux ressources de Volaris et à mettre en œuvre les meilleures pratiques.
Toutes les entreprises pour lesquelles j’ai travaillé auparavant avaient des objectifs à très court terme, n’est-ce pas ? Oui. Nous devions travailler dur, atteindre l’objectif, nous détendre un peu, travailler dur, atteindre l’objectif. Chez Volaris, quand on parle de gérer une entreprise dans une logique de pérennité, c’est un tout autre modèle. C’était quelque chose que je n’avais jamais connu. Et quand on m’a expliqué ce fonctionnement, j’ai trouvé cela extrêmement stimulant.t.
Travailler dans le domaine des intégrations lui a permis d’acquérir une connaissance approfondie des entreprises acquises par Volaris, notamment de leurs méthodes de travail et de leur personnel. Il a trouvé particulièrement intéressant d’en savoir plus sur les entreprises nouvellement acquises, car nombre d’entre elles ont une connaissance approfondie des institutions et entretiennent des relations étroites avec les clients.
Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il espère mettre en pratique certaines de ses connaissances passées : « L’un des aspects les plus surprenants que j’ai découverts en travaillant sur l’intégration, c’est que les entreprises que nous acquérons ne perçoivent pas toujours la valeur de leurs propres solutions et services autant que nous. »
Poursuivre sa carrière dans la technologie automobile chez Volaris
Syam Menon n’est pas un nouveau venu dans le monde des logiciels automobiles. Avant de rejoindre Volaris, sa carrière l’a mené aux quatre coins du monde, notamment chez deux leaders mondiaux de la technologie automobile, Keyloop et CDK Global, où il a travaillé pendant près de dix ans.
Dans le cadre du portefeuille automobile de Volaris, Syam Menon peut compter sur le soutien de dirigeants expérimentés qui forment une communauté autour de lui. Il est rattaché à Werner Leinauer, ancien PDG d’incadea, et collabore avec plusieurs entreprises sœurs du portefeuille, également spécialisées dans les logiciels automobiles, notamment ASC Automotive, MoVec, fmade, Runya et Automate.
Le secteur compte plusieurs opérateurs historiques, mais aussi un grand nombre de nouveaux fournisseurs de solutions qui arrivent dans l’écosystème, et tous ont besoin les uns des autres.
Avantages de l’appartenance au portefeuille automobile de Volaris
Syam Menon connaît déjà les avantages d’appartenir au portefeuille automobile de Volaris. Les entreprises du groupe sont présentes dans plus de 70 pays, et de nombreux dirigeants cumulent plus de 20 ans d’expérience, ce qui leur confère une vaste connaissance du marché à travers les zones géographiques et les cultures.
Faire partie d’une communauté dédiée à la technologie automobile au sein de Volaris renforce la résilience de chaque entreprise. Il serait difficile pour une structure isolée de suivre l’ensemble des évolutions du marché et des tendances. En revanche, appartenir à un groupe plus large, entouré de pairs qui maîtrisent également les enjeux du secteur, permet à chaque entité de gagner en solidité.
« Dans le secteur des logiciels pour la distribution automobile, on retrouve des attentes communes : de la part des constructeurs, des concessions et des clients finaux » , explique-t-il. « Ces attentes sont relativement constantes, et c’est précisément ce savoir que nous partageons au sein du portefeuille automobile de Volaris. »
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